CONDUIRE UN LYNX
Les excursions à haute vitesse dans les sous-bois et en montage font monter mon niveau d’adrénaline. J’aime aussi les longues aventures en sentiers et hors piste, entre amis comme en solo. J’aime que les paysages changent autour de moi lorsque je fais de la motoneige. J’utilise surtout les modèles BoonDocker 3700 RE et 3900 DS. Sur le RE, je peux me rendre partout. C’est une bonne machine pour la vitesse et les conditions difficiles. Pour les randonnées plus longues, je change simplement pour le siège de sentiers et le pare-brise plus haut. Le DS, c’est ma motoneige de neige profonde. Il est très agile et facile à conduire, et il suit exactement la trajectoire que vous avez choisie. J’aime aussi me promener plus tranquillement avec des modèles à chenille plus large, comme le Commander et le Xterrain Brutal. Pour moi, appartenir à la famille Lynx a une signification très importante. C’est une sorte de rêve que j'ai depuis l’enfance. C’était un événement extraordinaire pour moi de pouvoir faire de la motoneige pour la première fois avec les gentlemen Pauli Piippola et Janne Tapio. J’étais tellement emballé que la nuit précédente, je n’ai même pas réussi à m’endormir!
LE DÉBUT
J’ai commencé à faire de la motoneige à l’âge de 4 ans. Trois ans plus tard, j’ai eu ma première motoneige à moi, un Ski-Doo Citation. J’ai eu mon premier Lynx à l’âge de 11 ans. J’ai échangé mon scooter contre un vieux GLX 5900, que j’ai réparé. La marche arrière, c’était la fonctionnalité la plus géniale avec le GLX! Je rêvais depuis longtemps d’avoir une motoneige avec marche arrière. J’ai fait beaucoup de motoneige sur la neige, mais aussi sur l’eau en watercross. J’ai participé à de nombreux tournages de films sur la motoneige en Finlande. La chose la plus incroyable, c’est d’avoir participé à l’épisode de Nitro Circus en Finlande. La motoneige a toujours été un style de vie pour moi, un style que j’adore.
LA VIE SISU
Les longues aventures à travers la nature sauvage exigent du sisu. Ces randonnées doivent avoir quelque chose de fascinant pour moi, parce que j’en fais chaque année. Lorsqu’on coupe le moteur en pleine nature, et qu’on se met à simplement écouter le silence, on découvre que les sons de la nature sont magnifiques. Et en même temps, lorsqu’on réalise que le téléphone ne capte pas de réseau cellulaire, on comprend vraiment qu’on est au milieu de nulle part.
