CONDUIRE UN LYNX
J’adore faire des sauts et simplement me promener en m’amusant. Prendre les jours comme ils se présentent, généralement en faisant monter l’adrénaline, en riant, en apprenant de nouvelles choses et en m’améliorant – et en passant du temps à me promener avec de nouveaux et de vieux amis. Être en plein air avec les gens qui m’entourent. C’est une sensation incroyable. J’utilise le modèle BoonDocker RE 3700 et le modèle BoonDocker DS 3900. Pour moi, le DS est parfait pour la neige profonde, les pentes en montagne et le les sous-bois. Le RE 3700 est mon préféré de toujours. C’est une machine que j’aime vraiment. Il est incroyablement amusant et prêt à se rendre partout dès sa sortie du magasin. Devenir ambassadrice Lynx, c’est un rêve qui devient réalité pour moi. J’ai confiance en mes motoneiges, et c’est tellement génial qu’elles soient conçues et fabriquées en Finlande. J’ai l’impression de me sentir chez moi, en quelque sorte.
LE DÉBUT
Dans ma famille, nous sommes des amateurs de plein air, et les motoneiges ont toujours fait partie de nos vies. Quand j’étais petite, nous passions presque tous les week-ends et les vacances à notre chalet de Jokkmokk, dans le nord de la Suède, et c’est là aussi que j’ai fait mes premières sorties en motoneige. Nous utilisions la motoneige tous les jours pour apporter de l’eau ou du bois au chalet, mais aussi pour aller pêcher sur la glace ou tracer des sentiers. Nous étions toujours en excursion, à cuisiner dehors sur un feu, et à passer du temps entre amis. Chaque année, nous allions en montagne avec nos motoneiges pour faire de longues randonnées et profiter ensemble des panoramas. En 2014, j’ai acheté une nouvelle motoneige et j’ai passé une grande partie de l’hiver à essayer le plus possible à apprendre à conduire. C’est aussi l’année où j’ai essayé mes premiers sauts.
LA VIE SISU
J’ai une soif d’apprendre et je m’ennuie quand les choses deviennent trop faciles. Il y a quelques années, j’ai sauté des étapes et j’ai fait des sauts qui dépassaient de beaucoup mes capacités. J’ai eu quelques accidents, je me suis blessée au dos et je suis restée bloquée mentalement – je n’avais plus confiance en moi. Il a fallu que je prenne un peu de recul, que je recommence et que je me remette à pratiquer toutes les bases. Ça m’a pris beaucoup de sisu. Je pense que la saison dernière a finalement porté fruit. J’ai retrouvé ma passion pour les sauts et ma confiance en moi.